Prénom, Nom : Isabeau Borswoth
Âge : 31 ans
Statut : (Prince, princesse, bourgeois, chevalier, peuple ...) Bourgeoise
Groupe : (Rebelle, habitant d'Angor ...) habitante d'Angor, au service de la reine
Nature : (Sorcier, Humain, Êtres mythique ...) Vampire

Qualité(s) : Fidélité sans égal . Rusée . Intelligente . Belle
Une fidélité sans égal:
"J'aime cette femme. J'aime cette femme ignoble et son affolante intelligence. Sa grande beauté fait frémir mon corps, et brûlerait ce coeur que je n'ai point."
Isabeau est au service de la reine depuis quelque temps déjà. Elle lui est d'une grande fidélité et n'hésite pas à lui offrir ses conseils.
"Elle m'est d'une utilité sans faille. Quoi de mieux que d'être l'alliée la plus intime de la reine la plus puissante de notre époque? J'agis pour mon intérêt comme pour le sien, pour son bonheur autant que pour le mien."
Une grande rusée:
"J'agis en mon intérêt le plus vicieux. Egoïste à souhait, chaque homme et chaque femme qui entrera dans mes appartements ne ressortiront qu'après satisfaction totale de mes désirs, qu'ils concernent les plaisirs charnels ou les désirs de pouvoir."Très intelligente, Isabeau n'agit jamais par hasard, et celà au détriment des âmes les plus fraiches et fragiles. Ceux qui s'approchent de la jeune femme en ressortent rarement indemnes.
Une beauté froide:
"Je me sais dôtée des atouts les plus déroutants, ceux que jalousent toutes les femmes. Leurs regards déroutés et envieux me comblent d'une joie intense. Stupides donzelles."
Isabeau sait que sa grande beauté sont un véritable atout dans sa quête de tous les plaisirs. Associé à son intelligence sans faille, cette femme est une bombe à retardement.

Défaut(s) : Ténébreuse . Dangereuse . Amoureuse des plaisirs charnels . Manipulatrice . Froide
Une femme ténébreuse:
"Je viens de ce monde que les vivants craignent; de ce monde qui pue la mort; de ce monde dont personne ne ressort vivant."
Isabeau, en plus d'être vampire, est une femme dont le mystère éloigne les uns tandis qu'il conquière les autres. Elle sait parfaitement dissimuler ce qu'elle est et montrer ce qu'elle n'est pas.
De l'amour des plaisirs charnels:
"L'amour, je le fuis, je l'ignore, je le tue avant qu'il m'atteigne en plein coeur."
Isabeau aime les plaisirs simples. Elle rejette l'amour, qu'elle ne peut de toute façon pas ressentir du fait de son statut de non-vivante.
Une femme froide:
"Je n'aime personne, et personne ne m'aime. Chacun me craint et me méprise et je vous avoue... celà me convient à merveille."
Calme en toute circonstance, Isabeau ne montre que rarement le peu de sentiments qui l'étreignent.

Apparence : Isabeau possède un regard d'un bleu glacial, mais pourtant si envoutant qu'hommes et femmes se succèdent sans interruption dans son lit. Dôtée d'une grande beauté, elle fait concurence à plus d'une jeune demoiselle, ce dont elle se vante assez largement sans pour autant se limiter à ce don du ciel pour atteindre ses proies. Autre particularité de la jeune femme: sa poitrine opulente, qu'elle met suffisament en valeur grâce à ses robes décoletés mais sans pour autant paraître vulgaire. Dôtée d'une classe naturelle, elle impose un respect certain à tous les hommes et toutes les femmes dont elle croise le regard.

Histoire : (Anecdotes de votre enfance, adolescence, votre vie actuelle ... - 20-25 lignes minimum requises)

"Je suis une catin. Je le sais. Je l'assume. Je m'en délecte."

Naissance d'un monstre:
Isabeau est née un 1er novembre. Allez savoir pourquoi, cette dâte me fait frémir. L'année, Isabeau refuse de me l'avouer. Pourtant elle me parait jeune, si jeune... et si belle.
Fille unique d'une famille de paysans, Isabeau n'a jamais apprécié sa condition. La boue, les animaux, les loques dont elle était vêtu... et sa famille... cet ignoble alcoolique au ventre si rebondi qu'il semblait sur le point d'éclater... et sa mère, cette put*in qui ne cessait d'accueillir tous les hommes du village dans son lit.
"Et moi, je les voyaient défiler ces s*lauds. Et moi, je les entendais copuler... ça résonnait en permanence dans ma tête. Je les haïssais... je les haïssais tous."
Isabeau grandit, et sa haine des autres aussi. Les amants se succédèrent. Les amantes aussi. Tous disparurent... tous tués. La jeune femme adorait la chair et les plaisirs qu'elle procurait. Mais elle aimait par dessus tout la mort qui succédait à cet instant extatique qui se lisait sur le visage de chacun de ses compagnons.
Je vous épargne les détails de tous ces meutres sanglants... mais je crois malgré tout qu'il est nécessaire de vous avouer que... cette femme est folle... et dangereuse... méfiez-vous d'elle et de son regard envoutant.
Mort du meurtrier:
Du sang sur le mur... là où sa tête avait été violemment projettée. Elle était là, à terre, le crâne fracassé, les cheveux cramoisis. Et elle gémissait. La douleur était trop forte, lancinante.
"Je vais mourir. Je vais mourir. Je suis morte."
Elle leva les yeux vers cette ombre qui se dressait devant son corps décharné. C'était son père. Isabeau était en train de mourir, et c'était son père qui en était la cause. Il haïssait sa fille, et je vous avoue que je le comprend. Car, j'hésite à le faire, mais... je crois qu'il est néanmoins nécessaire de vous dire qu'elle a... assassiné... sa mère. Et son père, fou de chagrin et de terreur à l'égard de sa fille, n'a eu plus qu'une seule et unique solution. Il lui fallait faire disparaitre définitivement ce monstre dont il avait été le père. Il fallait la tuer. C'est ce qu'il fit... ou du moins ce qu'il crut faire.Le dernier coup qu'il lui porta fut si violent qu'Isabeau perdit connaissance.
Renouveau d'une catin:
Lorsqu'elle ouvrit enfin les yeux, elle était au bord de l'agonie et baignait dans son sang. Son père la croyait morte et avait fui la demeure familiale pour oublier la vision du cadavre meurtrie de sa fille... sa monstrueuse fille.
"La douleur est trop forte. Je souffre atrocement. Mon Dieu, abrégez mes souffrances."
Pourtant, un homme était là. Malgré ses yeux collés par le sang, Isabeau distinguait parfaitement les traits de son visage... il était si beau, si pâle, si froid. Il se pencha à son oreille et lui chuchota: "souhaites-tu être compagnon de la Mort?"
"Va au Diable. Je refuse d'être compagnon de la Mort. Je serai la Mort."
Une souffrance incroyable la fit suffoquer lorsque les crocs du vampire pénétrèrent sa peau. Elle crut un instant se trouver au milieu des flammes, mais cette idée se dissipa en même temps que son esprit se disperça dans les méandres de la douleur.
Lorsqu'elle reprit conscience de se qui advenait d'elle, il était déjà bien tard. Elle était morte... Mais elle se sentait pourtant si vivante.
La bourgeoise assassine:
"Les hommes sont extrèmement généreux lorsqu'ils aiment. Comment ne pas profiter de cette opportunité?"
Suite à ses mots, je jetai un coup d'oeil rapide à ses vêtements, ses parures... je compris alors qu'elle avait dû séduire de nombreux hommes. Isabeau était à présent une riche bourgeoise n'apparaissant que la nuit tombée pour se sustenter, s'enrichir, et tuer. J'appris par la suite qu'elle était devenu proche de la reine actuelle d'Angor. Celà dût permettre la satisfaction de ses désirs de pouvoir et de sang...

Quoi qu'il en soit, je n'ai plus recroisé Isabeau depuis cette nuit durant laquelle elle m'a contée sa vie. Je suppose qu'elle représente toujours la Mort...

Prénom ou pseudo' : Wasabi
Âge : 21 ans
Avatar : euhhhh...
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